En sommet virtuel avec les présidents des pays du Sahel les 15 et 16 février, Emmanuel Macron a promis de “décapiter” les groupes terroristes. Il a annoncé que Paris ne se désengagerait pas de la lutte contre le terrorisme dans la région et le Tchad a promis 1 200 soldats supplémentaires. Des déclarations à saluer, estime cet éditorialiste burkinabé, mais qui ne suffisent pas.
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Face au terrorisme au Sahel, après les promesses, il est temps de passer aux actes
